Avec R'el, Marcus et Clerkenwell Boy de la Drôme provençale au Beaujolais
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Jour 1
La Ferme Chapouton, premier lieu visible dès l’approche, contemple le village, classé parmi les plus beaux villages de France. Entre sols anciens, cheminée et terrasse, le Bistro Gourmand y a pris place : les plats mijotent, et l’on s’affaire en cuisine. L’enfilade des pièces voutées abritent salons et petit déjeuner. L’authentique escalier conduit aux 13 chambres contemporaines. Derrière la cours, protégée du mistral par l’ancienne maison des Sieurs lapins, une piscine chauffée s’est cachée. L’étable des moutons s’est ennoblie : la voilà devenue salles de séminaires, vastes et claires, pour y recevoir jusqu’à 60 hôtes.
Le chemin quitte la Ferme et s’approche, en quelques enjambées, de la Maison Privée : distribuées par un noble escalier, suites et chambres personnalisées et meublées XIXème offrent, chacune, une fraicheur tranquille derrière leurs volets.
Encore quelques pas : face à l’un des plus beaux lavoirs de Provence, la Maison Historique. Sous la verrière XIXème ou en salle à manger, le restaurant gastronomique (1* Michelin, étoile verte gastronomie durable) propose une cuisine délicate cosignée par le Chef Glenn Viel***. Aux lumières douces de l’après-midi, on s’oublie volontiers entre terrasse, treille ou salon intérieur. Le petit déjeuner est servi dans l’antique cuisine, en un copieux buffet (avec champagne s’il vous plait !), ponctué du tintement clair des heures de la vieille comtoise. Cire et lavande mènent aux étages : les antiques gravures qu’arborent les chambres intemporelles veillent, chacune, sur un confort douillet… Ici et là, partout même, des livres.
L’été venu, une flânerie s’impose au Jardin Méditerranéen : la collection de plantes odorantes, gorgées de soleil, s’étire entre baignade naturelle, étang et alcôves verdoyantes. Une ruche bourdonne, les rosiers anciens disputent l’espace aux fruitiers palissés. Niché dans un coin, le Pavillon des Amoureux, pour séjourner juste à deux, autrement… Tirer une chaise longue, et s’endormir devant le village couronné de son château… ou encore rêver devant l’ondulation sage des champs lavande.
Quelques ruelles pavées, et voilà, sur la place du village, le Café des Vignerons (représentation officielle de l’appellation Grignan-les-Adhémar) et la boutique. Gourmandises, senteurs et traditions de Provence : emporter un peu d’ici, partager à sa façon les Maisons du Clair de la Plume.
Ces lieux hors du temps, où l’on devine l’esprit de la Marquise de Sévigné, inconditionnelle de Grignan.

La Ferme Chapouton, premier lieu visible dès l’approche, contemple le village. Entre sols anciens, cheminée et terrasse, le Bistro y a pris place : les plats mijotent, et l’on s’affaire en cuisine. L’enfilade des pièces voutées abritent salons et petit déjeuner buffet au champagne servi dans l’ancienne cuisine. L’authentique escalier conduit aux 13 chambres contemporaines. Derrière la cour, protégée du mistral par l’ancienne maison des sieurs lapins, une piscine chauffée s’est cachée. L’étable des moutons s’est ennoblie : la voilà devenue salles de séminaires, vastes et claires, pour y recevoir jusqu’à 66 hôtes. La véranda avec ses 140 couverts offre une vue imprenable sur le château de Grignan.
Le chemin quitte la ferme et s’approche, en quelques enjambées, de la Maison Privée : distribuées par un noble escalier, 6 suites et chambres personnalisées et meublées XIXème offrent chacune une fraicheur tranquille derrière leurs volets.
Encore quelques pas : face à l’un des plus beaux lavoirs de Provence, la Maison Historique. Sous la verrière XIXème ou en salle à manger, le restaurant gastronomique 1* Michelin dont la carte est cosignée par le Chef Glenn Viel***, propose une cuisine délicate, soucieuse du produit particulier et de son intégrité. Aux lumières douces de l’après-midi, on s’oublie volontiers entre terrasse, treille ou salon intérieur, le temps d’une collation. Le petit déjeuner est servi dans l’antique cuisine, en un copieux buffet au champagne ponctué des heures claires de la vieille comtoise. Cire et lavande mènent aux étages : les antiques gravures qu’arborent les 9 chambres intemporelles veillent, chacune, sur un confort douillet… Ici et là, partout même, des livres.
L’été venu, une flânerie s’impose au Jardin Méditerranéen : la collection de plantes odorantes, gorgées de soleil, s’étire entre baignade naturelle, étang et restaurant de plein air. Une ruche bourdonne, les rosiers anciens disputent l’espace aux fruitiers palissés. Niché dans un coin, le Pavillon des Amoureux, pour séjourner juste à deux, autrement. Tirer une chaise longue, et s’endormir devant le village couronné de son château… ou encore rêver devant l’ondulation sage des champs lavande.
Quelques ruelles pavées, et voilà, sur la place du village, la Boutique. Gourmandises, senteurs et traditions de Provence : emporter un peu d’ici, partager à sa façon le Clair de la Plume.
Un lieu hors du temps, où l’on devine l’esprit de la Marquise de Sévigné, inconditionnelle de Grignan.

Jour 2
Perché au cœur de la Drôme provençale, Grignan charme par son riche patrimoine et son cadre naturel enchanteur. Dominé par un majestueux château Renaissance, célèbre grâce à la Marquise de Sévigné, le village dévoile ruelles fleuries, vestiges médiévaux et la superbe collégiale Saint-Sauveur. Le Jardin Sévigné, avec son mini-labyrinthe végétal, invite à la flânerie, tandis que la Grotte de Rochecourbière évoque les inspirations littéraires de la marquise. La chapelle Saint-Vincent, embellie par l’art contemporain, témoigne du dialogue entre histoire et modernité. Autour, les paysages de lavande, vignes et truffières offrent un spectacle sensoriel inoubliable. Fontaines, lavoir couvert et rosiers ponctuent les promenades d’élégance et de poésie. Grignan est une destination où l’histoire, la culture et la nature s’entrelacent avec harmonie, pour une escapade authentique et inspirante.

Le 17e siècle marque sa période la plus faste : les carrosses arrivent dans la cour d’honneur et on mène grand train dans la demeure du comte de Grignan, alors gouverneur de Provence. Son mariage en 1669 avec Françoise, fille de la Marquise de Sévigné - qui deviendra la célèbre épistolière que l’on connaît -, scelle le destin du monument. L’incroyable correspondance qui naît de l’éloignement entre la mère et la fille est à l’origine de la célébrité posthume de la Marquise et, en partie, de la notoriété du lieu. En 1696, elle meurt au château de Grignan lors de son 3e séjour auprès de sa fille et son gendre.
Démantelé à la Révolution, le château est reconstruit au début du 20e siècle par Marie Fontaine, une riche héritière qui consacrera sa fortune à ce chantier colossal.
Labellisé Musée de France, il offre aux visiteurs de précieux témoignages sur l’art de vivre à différentes époques, et propose des activités ludiques et culturelles pour tous les publics.
Chaque été, une création théâtrale inédite est présentée dans la cour d’honneur, pour quelques 40 représentations et 35 000 spectateurs : le festival des Fêtes nocturnes. Philippe Torreton, Béatrice Dalle, Marie-Claude Pietragalla, Daniel Mesguich, Didier Bezace – parmi de nombreux autres – y sont déjà venus jouer ou signer une mise en scène.

Notre coup de cœur ? La version premium très chic pour buller en couple. Au menu : truffe et saveurs locales avec une vue imprenable sur les collines de la Drôme Provençale.

Le Chef Mathieu Charrois propose quotidiennement au restaurant Epona un menu du jour à savourer à l’heure du déjeuner grâce à sa formule qui varie selon son inspiration, les arrivages et la météo ! Avec Epona, osez quelque chose de nouveau, chaque jour.
Le Chef et sa brigade vous proposent également deux nouvelles offres :
- Epona Côté Jardin : dès l’arrivée du printemps, Epona investit son exceptionnelle terrasse dans la cour historique Saint-Louis du Grand Hôtel-Dieu pour des repas paisibles.
- Epona Côté Montagne : en hiver, un confortable chalet prend place dans la cour Saint-Louis du restaurant Epona. Le Chef Mathieu Charrois et le Chef Pâtissier Vincent Thomassin proposent pour le déjeuner et le dîner de délicieuses saveurs hivernales avec des mets comme la traditionnelle fondue des Alpes, la raclette en demi-meule, la tartiflette fermière sur pain de campagne accompagnées du meilleur de la charcuterie régionale ou encore la tarte du Champsaur à la myrtille.
Tous les jours à partir de 16h, le Chef Pâtissier y propose également une pause gourmande et sucrée à partager, composée de tartes, pâtisseries, cookies ou encore un succulent bar à chocolat chaud.

Jean-Philippe Nuel, architecte d’intérieur à qui l’on doit déjà l’InterContinental Marseille – Hotel Dieu, a su moderniser le lieu tout en s’attachant aux détails de l'architecture. Le résultat ? Un luxe raffiné sans ostentation : ici, la pierre a été laissée apparente et les ouvertures offrent de superbes points de vue sur le reste de l'édifice… Entre charme et design, la décoration ne prend pas le pas sur le bâtiment.
Côté Rhône, les suites duplex déploient leurs volumes impressionnants et au maximum la hauteur des grandes fenêtres donnant sur le Rhône.
Côté cour, l’espace petit-déjeuner et restaurant accueille les clients en terrasse aux beaux jours, dans le calme du chant de la fontaine qui trône au centre de la cour Saint-Louis.
L’établissement dispose aussi d’une belle offre à destination des entreprises, avec 1500 m² de centre de conférences.
Mais l’InterContinental se veut aussi être un lieu de vie pour tous les lyonnais : le restaurant Epona tenu par le chef Mathieu Charrois est ouvert à tous, dans une ambiance feutrée et chaleureuse.
Le clou du spectacle reste le bar de l’hôtel, Le Dôme. Situé au premier étage, il prend place sous les 32 mètres de la coupole conçue au 18ème siècle par l’architecte Jacques-Germain Soufflot. Un lieu magistral et unique, pour un verre ou une pause gourmande ouverte à tous, dans une atmosphère à couper le souffle.
InterContinental Lyon - Hotel Dieu c’est :
> Une superficie de 13 237m²
> 114 chambres
> 30 suites et duplex, dont une Suite Présidentielle aux couleurs roses poudrés ouverte sur le grand dôme, ouvrage monumental et majestueux
> Un club lounge
> Le restaurant Epona, avec sa terrasse-jardin dans la cour Saint-Louis de l’Hôtel-Dieu
> Un bar Le Dôme situé sous le grand dôme, lieu unique et symbole de l'Hôtel-Dieu
> Un centre de conférence de 1500 m², composé de 9 salles de banquet et conférence éclairées à la lumière du jour et d'une salle plénière de 426 m²
L'InterContinental Lyon - Hôtel Dieu dispose du label Clef Verte.

Jour 3
Madame Delubac lui a légué sa collection d'art impressionniste et d'art moderne en 1997.
Le musée a obtenu la 1ère place des musées en région et la 5ème des musées français.
Il a été créé en 1803 dans un ancien couvent de Bénédictines du XVII° s. construit par l'architecte François Royer de la Valfenière. Après des travaux réalisés depuis 1989 par Philippe-Charles Dubois, Jean-Michel Wilmotte, Gabriel Mortamet, il a été inauguré en mars 1998.
Thomas Blanchet (1614-1689) y a fait réaliser l'ensemble de statues baroques du Réfectoire et du Grand escalier.
Un salon de thé-restaurant permet de se relaxer en profitant de la terrasse donnant sur le jardin.
Un billet d'entrée est nécessaire pour accéder au jardin qui fait partie de la jauge du Musée.

Cuisine de produits frais et locaux, travaillés autour d'une carte courte.
En semaine menu complet à 21€ et le week-end menu à 32€.

Puis profitez du temps fort de cette visite avec la découverte des salons prestigieux du Château, rénovés au 19ème siècle. Vous aurez le privilège d’admirer les salons décorés d'œuvres d’art, de meubles d’antiquités et de mobilier design, la salle des boiseries, la bibliothèque et ses ouvrages anciens, le billard et le fumoir dans la tour pointue.
Un atelier pour découvrir les accords entre 4 vins du Domaine et les fromages affinés de Dufour vous sera proposé dans les salons du Château. Nous vous ferrons déguster deux vins blanc cépage Chardonnay et deux vins rouges cépage Gamay et/ou Gamaret. Nous vous expliquerons les bases de la dégustation des vins et comment les associer aux différentes familles de fromage : pâtes molles à croûte fleurie, pâtes pressées cuites, pâtes pressées non cuites, pâtes molles à croûte lavée, pâtes persillées, fromages frais, fromages de chèvre ou au lait de brebis ou éventuellement fromages végétaux.
Cette offre fait partie du carnet de Route des Châteaux en Beaujolais : à partir du deuxième Château visité, profitez d’avantages et de privilèges exclusifs !

Construite en 1794 par Alexandre d’Aigueperse, cette demeure de caractère fut la résidence secondaire de ses descendants lyonnais pendant sept générations. En 2018, son nouveau propriétaire entreprend une rénovation totale pour lui offrir une seconde vie.
C’est ainsi qu’en juillet 2021, l’Hôtel**** Villa Alexandre ouvre ses portes à Régnié-Durette, au cœur des vignes du Beaujolais, à seulement 1h35 de Paris en TGV et 40 minutes de Lyon.
Chaque chambre, unique et élégante, allie charme, confort et raffinement.
Un restaurant d’exception, une cuisine inspirée
Dans notre salle à manger ouverte sur la cuisine grandiose, vivez une expérience gastronomique authentique et conviviale. Le Chef sublime les produits locaux à travers une cuisine de saison, accompagnée d’une sélection raffinée de vins régionaux et spiritueux.
Aux beaux jours, installez-vous sur notre terrasse « bistrot » et savourez un moment d’exception face à un panorama majestueux sur la chaîne des Alpes et le Mont Blanc. Profitez également de notre piscine chauffée, nichée au pied d’un cèdre plusieurs fois centenaire, classé arbre remarquable.
Au cœur d’un parc de 5 000 m², laissez-vous séduire par l’âme de Villa Alexandre et contemplez l’église aux deux clochers de Régnié-Durette, conçue par Pierre Bossan, architecte de la basilique de Fourvière à Lyon.
